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ANDIOR
CONSCIENCE SOCIALE ET ÉTHIQUE
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Plongeons dans le grand bain de sang économique, là où le profit se taille la part du lion, laissant la morale en miettes sur le champ de bataille. La guerre, cet antique passe-temps des élites, où l'homme moyen devient chair à canon pour des causes qu'il comprend à peine.
Ah, la guerre. Cet incroyable générateur de profits où chaque explosion n'est pas juste une tragédie mais aussi une occasion de faire "ka-ching" dans les caisses des industriels de l'armement. Décortiquons ensemble ce festin des vautours.
Il est fascinant de voir comment, dans le grand casino de la guerre, les dés sont pipés en faveur des fabricants d'armes. Oui, ces joyeux entrepreneurs qui voient dans chaque conflit une opportunité en or. Pour eux, la guerre n'est pas un fléau mais une ligne directe vers des bénéfices astronomiques.
Imagine un instant : chaque missile, chaque drone, chaque fusil vendu est un produit hautement rentable. Pendant que le monde pleure les vies perdues, ces messieurs célèbrent leurs profits en hausse. C'est un peu comme vendre des billets pour le spectacle le plus macabre de l'histoire, sauf que le spectacle, c'est la guerre réelle, avec de vraies personnes qui meurent.
Et que dire des contrats gouvernementaux ? Oh, la belle affaire ! Les gouvernements dépensent des sommes faramineuses en équipement militaire, souvent sans trop regarder à la dépense. Après tout, c'est pour la "défense nationale", n'est-ce pas ? Un chèque en blanc signé avec l'encre de la peur collective.
Mais le plus ironique dans tout ça, c'est que bien souvent, les populations pour lesquelles ces guerres sont prétendument menées voient peu ou pas du tout les bénéfices de ces dépenses gigantesques. Les infrastructures restent délabrées, l'éducation et la santé publiques crient au secours mais hé, au moins on a des missiles flambant neufs !
La prochaine fois que tu entends parler d'un conflit quelque part dans le monde, demande-toi : qui profite vraiment de cette guerre ? Et pendant que tu y es, rappelle-toi que dans le grand marché de la mort, les affaires sont toujours florissantes pour ceux qui savent où placer leurs investissements. Morbide ? Absolument. Vrai ? Malheureusement, oui.
Imagine un monde où les plus influents se livrent à un jeu de société grandeur nature, sauf que le plateau de jeu, c’est la planète et les pions, eh bien, c’est nous. Bienvenue dans le divertissement des puissants, où les jeux de pouvoir transforment les humains en figurines sur un échiquier sanglant.
Dans cette partie d'échecs macabre, les stratégies ne visent pas à sauver des pions mais à maximiser les gains territoriaux, économiques, ou politiques. Chaque mouvement est calculé pour servir les intérêts d’une élite qui, depuis son Olympe, orchestre les conflits avec la froideur d’un joueur pariant sur des vies humaines.
Les guerres, dans leur essence la plus cynique, sont devenues une forme de divertissement pour ceux qui ne connaîtront jamais l'odeur de la poudre ni le poids d'une arme. Ils jouent avec les destinées comme on joue à la roulette, sauf que chaque pari perdu se compte en vies humaines et non en jetons.
Ces puissants, ils tissent des alliances aussi fragiles que des toiles d'araignée, prêtes à capturer le moindre avantage, sacrifiant sans remords les pions qui ne servent plus leurs desseins. Les discours sur la liberté, la démocratie, ou la défense des droits de l'homme ne sont que des prétextes pour justifier des opérations qui, au fond, ne cherchent qu'à enrichir et à entretenir leur soif de pouvoir.
Mais le plus absurde, c’est que ce spectacle morbide est souvent encouragé, voire glorifié, par une partie de la population manipulée par les médias, les discours patriotiques et une éducation sélective de l'histoire. On nous vend des guerres comme on vendrait des tickets pour le dernier blockbuster, avec des héros, des méchants et une morale qui justifie la fin, quelle qu'elle soit.
Dans cette arène, le véritable ennemi n’est pas celui qui se trouve de l’autre côté de la frontière mais celui qui manipule les ficelles, transformant des vies en statistiques et des principes en monnaie d'échange. La guerre, pour eux, n’est qu’un jeu – un divertissement coûteux en vies humaines mais rentable pour leurs comptes en banque et leur influence.
Avant de prendre parti, demandons-nous : pour qui battent réellement les tambours de guerre ? Sommes-nous prêts à continuer d’être les pions sacrifiables de leur divertissement macabre ? Il est temps de renverser l'échiquier, de refuser d’être joués et de redéfinir les règles du jeu. Car dans ce jeu de pouvoir, l'humanité mérite mieux que d'être réduite à une simple distraction.
Le patriotisme, cette noble sensation qui gonfle le cœur... jusqu’à ce qu’il explose, littéralement, sur un champ de bataille quelconque. Parce qu’ici, on va parler du lavage de cerveau patriotique, cette technique raffinée qui transforme l’amour du drapeau en une étreinte mortelle avec le fusil.
Le processus est aussi subtil qu’un rouleau compresseur. Dès le plus jeune âge, on nous inculque l'idée que notre nation est plus qu'une simple géographie : c'est une entité sacrée, méritant notre dévouement total, y compris notre volonté de mourir pour elle. Et comment questionner cela ? Après tout, c'est enveloppé dans le drapeau, saupoudré de l'hymne national et servi avec une parade militaire.
La propagande, cette vieille amie des régimes autoritaires et des démocraties fatiguées, s’infiltre dans chaque aspect de la vie, transformant les esprits questionneurs en échos béats du "nous contre eux". Les médias, les manuels scolaires, les films et même les jeux vidéo jouent leur rôle dans cette chorégraphie macabre, peignant la guerre en teintes de gloire et d'héroïsme, où chaque soldat tombé au combat est un martyr pour la cause nationale.
Mais attendez, il y a plus. L’ennemi – ce concept élastique, malléable à souhait. Aujourd'hui c'est celui-ci, demain ce sera un autre, selon les besoins de l'agenda politique. La peur de l'autre, savamment entretenue, devient le carburant de cette machine de guerre patriotique, justifiant tout, de la surveillance de masse à l'engagement militaire à l'étranger.
Dans ce monde où le scepticisme est vu comme une trahison et l'interrogation comme un manque de patriotisme, embrasser le fusil devient un rite de passage, une preuve ultime de fidélité à la patrie. Et pour ceux qui hésitent ? Un peu plus de propagande, quelques discours bien sentis sur le danger imminent et voilà, l’hésitation se transforme en conviction, prête à être envoyée au front.
Le lavage de cerveau patriotique n’est pas juste une question de manipulation des masses ; c’est une arme de guerre, aussi puissante que n’importe quel missile. Elle transforme la peur en fureur, l’amour en haine, le citoyen en soldat. Et dans ce jeu, la question n’est pas de savoir si tu es prêt à mourir pour ton pays mais si tu es prêt à tuer pour lui, sans jamais te demander pourquoi.
Lorsque le fusil est glorifié comme un insigne d'honneur, interroge-toi : pour qui tire-t-on réellement ? Et est-ce que l’amour véritable pour sa patrie ne résiderait pas plutôt dans la quête de paix que dans la précipitation vers la guerre ?
Ici, c'est l’atelier où l’on forge les héros, un lieu magique où les bouchers se métamorphosent en légendes. Les médias et les livres d’histoire sont les alchimistes de cette transformation, travaillant sans relâche pour que tu brûles d’envie de rejoindre le club très fermé des « héros ».
Dès le plus jeune âge, on nous sert des histoires édulcorées de conquérants, de guerriers valeureux, de soldats intrépides, tous baignant dans la gloire éternelle. Ces récits, triés sur le volet, éclipsent soigneusement les horreurs commises, les vies brisées, les civilisations détruites. Les héros de guerre sont peints avec des pinceaux trempés dans des couleurs vives de bravoure et de sacrifice, sans jamais montrer les taches sombres de sang innocent.
Les médias contemporains ne sont pas en reste. Les reportages, films et séries glorifient l’action militaire, transformant des opérations de destruction massive en spectacles hollywoodiens. Les « méchants » sont déshumanisés, rendant ainsi toute violence à leur encontre non seulement acceptable mais héroïque. Dans ce scénario, chaque soldat rentre à la maison en héros, peu importe le bilan réel de ses actions.
Cette fabrication en série de héros sert un double objectif : elle justifie les conflits passés et prépare le terrain pour les futurs engagements militaires. Elle crée une boucle de rétroaction où le désir d'être reconnu, d'être célébré, pousse les nouvelles générations à accepter, voire à aspirer, au rôle de soldat. Après tout, qui ne voudrait pas être immortalisé dans les livres d’histoire, même si la vérité est bien plus nuancée ?
Mais derrière chaque médaille, chaque statue, chaque nom gravé dans la pierre, il y a une histoire non dite, celle des souffrances infligées, des vies éteintes, des familles déchirées. La vraie bravoure, pourrait-on arguer, réside peut-être dans la capacité à résister à l’appel séducteur de la guerre, à questionner, à chercher des alternatives à la violence.
L’héroïsme véritable ne devrait pas nécessiter un uniforme, ni se mesurer en actes de guerre. Peut-être est-il temps de réévaluer nos modèles, de célébrer ceux qui construisent, qui guérissent, qui unissent. Car au final, les plus grands héros sont souvent ceux dont les noms restent inconnus, ceux qui ont choisi l’humanité plutôt que l’histoire.
Spoiler alert – les véritables gagnants de toute guerre ne sont jamais ceux qui s'embourbent dans la boue des tranchées. Non, les champions éternels du conflit se trouvent bien au chaud, loin des balles sifflantes et des cris des mourants.
Dans le grand théâtre de la guerre, les vrais vainqueurs tiennent les cordons de la bourse, orchestrant le chaos depuis leurs tours d'ivoire. Ces sont les industriels de l'armement, les politiciens stratèges, les magnats des médias – bref, ceux qui récoltent les fruits juteux du conflit sans jamais goûter à l'amertume de la perte personnelle.
Ces élites, dans leur sagesse infinie, ont compris depuis longtemps que la guerre est bien plus qu'une tragédie humaine ; c'est une opportunité en or. Pour eux, chaque conflit est une chance de gonfler les profits, de redessiner les cartes géopolitiques à leur avantage, de consolider leur emprise sur le pouvoir.
Et comment ils y parviennent ? Grâce à une recette éprouvée : d'abord, alimenter le feu de la peur et du nationalisme, ensuite, vendre l'idée que l'agression est la seule réponse logique et enfin, s'assurer que la machine de guerre tourne à plein régime, peu importe le coût humain. Pendant que les jeunes sont applaudis pour leur sacrifice, ces stratèges comptent leurs bénéfices, loin des pleurs et du sang versé.
Mais le spectacle doit continuer, car dans ce cirque macabre, l'arrêt des hostilités signifierait la fin des profits. Ainsi, on entretient soigneusement le cycle de la peur, de la haine et de l'agression, assurant que le business de la guerre reste le plus lucratif de tous.
Il est grand temps de lever le voile sur cette réalité amère, de reconnaître que tant que la guerre sera profitable, elle sera inévitable. Les vrais héros ne sont pas ceux qui brandissent les armes mais ceux qui osent remettre en question cette logique perverse, ceux qui luttent pour un monde où la paix n'est pas juste un intervalle entre deux guerres mais un état permanent.
Quand l'appel aux armes se fera entendre, rappelons-nous qui en bénéficiera réellement. Et demandons-nous : pour qui et pour quoi sommes-nous prêts à payer le prix ultime ? Car dans la grande équation de la guerre, il y a toujours des gagnants et des perdants – et rarement, les premiers se trouvent sur le champ de bataille.
Faisons un petit détour par le quartier des cyniques, où on vous expliquera pourquoi l’idée même de la paix mondiale est capable de donner des sueurs froides à toute l’industrie de guerre. Oui, parce que, dans le fond, la guerre est un peu la poule aux œufs d'or de l'économie globale – et qui voudrait abattre une telle bête ?
La paix, cette belle utopie, semble toujours être juste au-delà de l'horizon, toujours hors de portée. Et pour cause : un monde en paix est un monde où les usines d'armement tournent au ralenti, où les budgets militaires astronomiques se justifient difficilement et où les stratèges en costume doivent trouver d’autres hobbies que de redessiner les frontières sur des cartes.
La guerre, voyez-vous, est un business modèle en soi. Elle stimule l'innovation technologique, justifie le contrôle social et surtout, elle permet une redistribution des ressources mondiales qui profite toujours aux mêmes. Dans cet échiquier géopolitique, la paix n'est pas tant un objectif qu'un moyen de pression, un leurre utilisé pour maintenir l'équilibre du pouvoir – ou plutôt, son déséquilibre.
Mais n'allez pas croire que ce cynisme est une fatalité. C'est un choix, une série de décisions prises par ceux qui bénéficient du statu quo. Pour eux, les conflits perpétuels ne sont pas un bug du système mais une fonctionnalité. La guerre alimente la machine économique, crée de la demande pour l'industrie de défense et génère des profits colossaux masqués sous le voile du patriotisme et de la sécurité nationale.
Dans ce contexte, la paix mondiale n'est pas seulement un rêve lointain ; elle est perçue comme une menace directe à un ordre économique et politique établi. Un ordre où la peur est une monnaie d'échange et où la sécurité est une marchandise lucrative.
Lorsque que vous entendrez parler à nouveau de démarches vers la paix, demandez-vous qui se trouve vraiment derrière et quelles sont leurs motivations. La route vers la paix véritable est semée d'embûches, non pas parce que nous sommes incapables de vivre sans conflit mais parce que pour certains, la guerre est bien trop rentable.
Ainsi, dans ce monde où le cynisme est roi, se battre pour la paix n'est pas simplement noble, c'est révolutionnaire. C'est choisir de croire en l'humanité malgré les preuves du contraire. C'est, peut-être, le seul combat qui vaille vraiment la peine d'être mené.
C'est l’heure de la désillusion, où il est grand temps de ranger au placard les contes de fées sur la guerre, ces histoires édulcorées de bravoure et d’héroïsme qui masquent une réalité bien plus sombre. Oui, prépare-toi à voir la guerre pour ce qu’elle est vraiment : une entreprise lucrative, froide et calculatrice.
La première étape vers la désillusion, c'est de reconnaître que la guerre, loin d'être une tragédie inévitable de la condition humaine, est souvent une décision prise froidement, un calcul basé sur le profit et la perte – où, tragiquement, la "perte" est essentiellement humaine. Ces conflits ne surgissent pas du vide. Ils sont alimentés, cultivés et parfois même créés de toutes pièces par ceux qui en tirent les ficelles... et les bénéfices.
La vérité, c’est que derrière chaque discours sur la défense des valeurs, la protection de la patrie, ou l’intervention humanitaire, se cache un agenda moins noble. Il peut s'agir de contrôler des ressources, d'ouvrir des marchés, de maintenir des régimes politiques favorables, ou simplement de soutenir l'industrie de défense, qui, sans conflit, perdrait son principal marché.
Le moment est venu de démystifier l'idéal guerrier, de questionner non seulement les raisons officielles des conflits mais aussi les bénéficiaires ultimes de ces luttes. Qui profite vraiment lorsque les canons tonnent, lorsque les villes sont rasées et lorsque les populations sont réduites à l’exil ou pire ?
Cette prise de conscience n'est pas un exercice de cynisme ; c'est un appel à la lucidité. Il s'agit de refuser d'être complice par ignorance ou par passivité. De comprendre que chaque bombe larguée, chaque missile tiré, a un coût humain mais rapporte des dividendes à quelqu'un, quelque part.
La désillusion nécessaire n’est pas une fin en soi mais un début. C'est le premier pas vers une résistance informée, vers la recherche de solutions véritablement pacifiques, vers l'exigence de transparence et de responsabilité de la part de nos dirigeants. Car si la guerre est une entreprise, alors nous, le peuple, en sommes les actionnaires involontaires et il est temps de questionner la direction que prennent nos "investissements".
Voir la guerre sous son véritable jour, c'est reconnaître sa laideur, comprendre ses mécanismes et refuser d'y participer aveuglément. C'est choisir de valoriser chaque vie humaine plutôt que de compter les gains et les pertes comme s'il s'agissait d'un jeu de société. La désillusion est certes douloureuse mais elle est le premier pas vers une humanité plus consciente, plus critique et finalement, plus pacifique.
Face à la gigantesque machinerie de guerre, se sentir impuissant est une réaction naturelle. Mais ici, dans le dernier bastion de l'espoir, tu trouveras quelques pistes d'action pour le citoyen lambda qui, comme toi, préférerait ne pas être complice de cette mascarade globale.
Chacun de ces gestes peut sembler dérisoire face à l'ampleur des enjeux mais souviens-toi : de grandes avalanches sont souvent déclenchées par de petits mouvements. Ton action individuelle, combinée à celle de millions d'autres, a le pouvoir de créer un tsunami de changement. Ne sous-estime jamais le pouvoir de l'individu éclairé et engagé. C'est ensemble, pas à pas, que nous pouvons redessiner les contours d'un monde où la guerre deviendra l'exception, non la règle.
L'absurdité de la guerre, avec toute sa cruauté et son ironie, se cristallise finalement dans un échange macabre : des vies humaines contre du profit. C'est une réalité amère, un cycle infernal alimenté par la soif insatiable de pouvoir et d'argent de quelques-uns, au détriment de tant d'autres.
Mais tant que nous, le peuple, continuerons à avaler sans broncher les pilules de propagande, à nous laisser séduire par les récits héroïques fabriqués et à fermer les yeux sur les motivations réelles derrière les guerres, les engrenages de cette machine monstrueuse continueront de tourner sans accroc. Il est facile de se sentir impuissant face à l'immensité de ce système, de croire que notre voix ne compte pas, que nos actions sont vaines. Pourtant, c'est loin d'être la vérité.
Réveiller sa conscience n'est pas qu'un acte de rébellion ; c'est le premier pas vers un changement profond. C'est reconnaître que chaque choix que nous faisons, de s'informer correctement, de questionner les discours officiels, de participer activement à la société, d'exercer notre droit de vote de manière réfléchie et même de consommer de façon éthique, peut contribuer à enrayer la machine de guerre.
Le combat pour la paix n'est pas une lutte solitaire. C'est un mouvement collectif, une vague croissante d'individus conscients et engagés qui refusent de jouer le jeu tel qu'il est imposé. C'est dans cette prise de conscience collective, dans cette volonté partagée de voir au-delà des mensonges et de chercher ensemble des solutions durables, que réside la véritable force capable de transformer le monde.
La guerre est peut-être l'un des plus anciens fléaux de l'humanité mais elle n'est pas une fatalité. Nous avons le pouvoir de réécrire cette partie de notre histoire, de choisir un autre chemin. Cela commence par l'éveil de notre conscience individuelle et se poursuit par notre action collective. Ensemble, faisons de la paix non pas un rêve lointain mais une réalité tangible pour toutes les générations futures.
À PROPOS DES AUTEURS
Dans l'univers unique de leur blog, Absurd Humanity — Miasara et Andior, fondateurs de Awarelink, vous invitent à une exploration sans précédent.
Au-delà d'un simple blog, Absurd Humanity est leur espace de liberté, une scène où, libérés de la censure des grands médias, ils dévoilent les absurdités et les vérités dissimulées de notre existence.
Leurs articles sont des portails vers les aspects les plus profonds, parfois les plus sombres mais toujours fascinants de la vie humaine.
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